1. Principe de l’ostéopathie
Le principe de l’ostéopathie peut être
résumé à « la vie, c’est le
mouvement, s’il n’y a pas de
mouvement, c’est la mort ».
Ce concept de base s’appuie sur 2
affirmations, énoncées par le premier
ostéopathe, Andrew Taylor Still :
« la structure gouverne la fonction » : cela signifie : si les structures de
maintien ont perdue leur mobilité, l’organisme ne peut fonctionner
normalement.
« la règle de l’artère est souveraine » cela veut dire que toute entrave a la
circulation sanguine affaiblit l’organe concerné. Celui-ci n’assure donc plus
correctement sa fonction et devient le siège d’une infection.
Ces 2 règles sont les fondations même de l’ostéopathie ; si, dans le corps, un os, un
organe ou un muscle ne joue pas son rôle librement, il entrave la circulation
sanguine et entraîne des troubles dans le territoire que devaient irriguer les
vaisseaux concernés.
L’ostéopathe questionne directement le corps du patient, avec la seule aide de ses
mains. C’est aussi seulement avec celles-ci qu’il traite l’individu.
Un « dialogue » s’instaure alors entre le soigneur et le cheval. Les propriétaires
donnent des informations au praticien mais celles-ci peuvent être erronées car ils ont
eu une mauvaise interprétation du comportement de leur cheval. Grâce a ses mains,
l’ostéopathe interroge directement le concerné, qui lui « répond » par l’intermédiaire
de son corps.
2. Les différentes techniques à la disposition de l’ostéopathe
L’ostéopathie structurelle : le but de cette technique de manipulation est
de casser l’arc réflexe ainsi que la restriction de mobilité